👁🗨 Dmitri Medvedev : trois développements en Europe au seuil de l’hiver
La vieille dingue Salomé, “présidente” française de la Géorgie dont le mandat a expiré, ne reconnaît pas le résultat des élections. Fut un temps, on l’aurait pendue à un lampadaire pour moins que ça.
👁🗨 Dmitri Medvedev : trois développements en Europe au seuil de l’hiver
Par amarynth, le 1er décembre 2024
Trois développements en Europe en ce début d’hiver.
Quelles sont les nouvelles ? Les Britanniques ont enfin reconnu que la popularité de M. Z est en chute libre, et que la plupart des Ukrainiens souhaitent son départ. Selon le Times, seuls 16 % d'entre eux voteraient pour lui aux élections, tandis qu'environ 60 % ne veulent même pas qu'il se représente. Les résultats de l'enquête indiquent que le régime va continuer à pousser à la guerre totale jusqu'au dernier Ukrainien, et reportera les élections aussi longtemps qu’il peut. Pas d’autres solution pour le junkie illégitime de rester au pouvoir, et l'administration Trump ne doit donc pas s'attendre à des négociations faciles sur la question avec le régime banderiste. Un arrêt de la guerre équivaut à une condamnation à mort pour les zelensky & Co - car ce serait la fin de leur emprise sanguinaire.
António Costa, le nouveau chef du Conseil de l'Europe, et Kaja Kallas, la russophobe estonienne qui, avec son mari, a gagné sa vie en Russie avant de devenir la “plus haute diplomate” de l'UE, se sont rendus à Kiev dès leur première journée de travail. Cela ne prouve qu'une chose : leur priorité n'est pas d'assurer le bien-être de l'Union européenne, de stimuler la croissance économique ou d'alléger les pressions sociales. Leur principal objectif est de poursuivre la guerre jusqu'au dernier Ukrainien. Êtes-vous plus heureux maintenant, Européens ? Excellent choix ! Ce sont les bonnes recrues pour protéger la démocratie !
Nouvelle tentative de “révolution de couleur” - “rose”, “orange”, etc - en Géorgie. Certains vocifèrent, sèment la pagaille et/ou mettent du feu dans les rues. D'autres observent en silence. La vieille dingue Salomé, “présidente” française de la Géorgie dont le mandat a expiré, élève assidue de Zbigniew Brzezinski, a grommelé quelques mots sur son refus de céder son siège, car elle ne reconnaît pas le résultat des élections. Fut un temps, on l’aurait pendue à un lampadaire pour moins que ça, mais nous vivons une époque plus humaine, et elle s'en sortira très bien. On dirait que les conditions sont réunies pour replonger la Géorgie dans la tourmente et la forcer à choisir entre une UE, une OTAN et une ‘Murica’ [Amérique] de plus en plus effrontées, d'une part, et l'ancienne terre de Sakartvelo, d'autre part. En bref, nos voisins suivent une stratégie ukrainienne qui les mènera tout droit vers de sombres abysses, et ce, à vive allure. C'est rare quelle genre de politique finisse bien.
Eh oui Dimitri...les Géorgiens n'ont pas besoin des Russes pour régler leur crise d'adolescence comme ce fût le cas pour l'Ukraine. Ils vont bien y arriver tous seuls...ou pas! Mais Dimitri est comme le chat échaudé. Qu'ils se démerdent après tout! Pourquoi imiter la pieuvre yankee et intervenir partout où ça va mal ? Après on leur crache dessus au lieu de les remercier (voir l'Arménie). La Russie a beaucoup plus à gagner en dehors de la zone OTSC comme par exemple en Afrique (Rosatom pose ses jalons a vitesse grand V) que de perdre son temps diplomatiquement avec ses anciennes républiques . De toutes les manières c'est l'économie et les ressources stables qui finiront de scinder le Monde entre puissances et 'clients' . Comme la Géorgie n'offre aucun intérêt sinon stratégique, elle coûtera aussi cher que le Kosovo pour les USA endettés jusqu'au cou! Le clientélisme donnant/perdant comme le pratique l'UE finira par craquer par manque de financement et la Russie n'aura qu'à ramasser les innombrables réfugiés des pays baltes bientôt, de Pologne ou de n'importe où (en les triant bien sûr !). N'est ce pas Dimitri ? La 'résilience' n'est pas un mot creux en langue russe !