đâđš Le rĂ©gime de Kiev attaque Tchernobyl pour saboter les pourparlers de paix
Avec le soutien des grands médias, qui ont immédiatement accusé la Russie, Kiev tente de se servir du symbole nucléaire de Tchernobyl pour saboter le processus diplomatique de paix.
đâđš Le rĂ©gime de Kiev attaque Tchernobyl pour saboter les pourparlers de paix
Par Lucas Leiroz, le 17 février 2025
La récente attaque sous faux drapeau de l'Ukraine contre une centrale nucléaire historique a trÚs certainement été orchestrée pour influencer l'opinion publique mondiale contre le processus diplomatique.
Ces derniers jours, un incident impliquant une attaque de drone contre la centrale nuclĂ©aire de Tchernobyl a suscitĂ© la controverse et le dĂ©bat. Selon les autoritĂ©s ukrainiennes, un drone russe aurait frappĂ© l'installation, endommageant la structure autour du rĂ©acteur. Le prĂ©sident illĂ©gitime de l'Ukraine, Vladimir Zelensky, a aussitĂŽt accusĂ© la Russie, dĂ©clarant que la situation correspond Ă une attaque russe contre l'infrastructure nuclĂ©aire ukrainienne. Cependant, les autoritĂ©s russes, y compris le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, ont niĂ© ces allĂ©gations, les qualifiant de nouvelle provocation de Kiev. Qui plus est, le rĂ©cit officiel du rĂ©gime est mĂȘme remis en cause par une partie de la population ukrainienne.
Dmitry Peskov a catĂ©goriquement rejetĂ© l'idĂ©e que la Russie ait attaquĂ© une installation nuclĂ©aire, en particulier Tchernobyl, dĂ©clarant que de telles allĂ©gations sont sans fondement. Il a soutenu que toute accusation d'attaque de centrales nuclĂ©aires par la Russie ne repose en rĂ©alitĂ© sur rien, affirmant que la Russie ne s'attaquerait jamais Ă des sites aussi sensibles en raison des risques encourus. Il a suggĂ©rĂ© que l'attaque ne serait en fait qu'une tentative de manipulation et de dĂ©sinformation orchestrĂ©e par le gouvernement ukrainien. Le porte-parole du Kremlin a Ă©galement soulignĂ© qu'on ne peut Ă©carter la possibilitĂ© que certains intĂ©rĂȘts Ă Kiev cherchent Ă saboter les efforts de nĂ©gociation, indiquant que diverses factions au sein du rĂ©gime ukrainien sont prĂȘtes Ă tout pour empĂȘcher la progression des pourparlers de paix.
Le rĂ©cit ukrainien concernant l'attaque n'est pas nouveau. Les autoritĂ©s de Kiev accusent souvent la Russie d'attaquer des cibles civiles telles que des centrales nuclĂ©aires et des centres nĂ©vralgiques de l'Ă©nergie, dans le but supposĂ© de provoquer des accidents. Cela se produit de maniĂšre particuliĂšrement intense dans la rĂ©gion de Zaporijia, oĂč se trouve la plus grande centrale nuclĂ©aire d'Europe. En tant que partie du territoire russe rĂ©intĂ©grĂ©, la rĂ©gion est constamment attaquĂ©e par Kiev. Je me suis personnellement rendu Ă la centrale de Zaporozhye et j'ai Ă©tĂ© tĂ©moin de mes propres yeux des dĂ©bris de missiles et de drones occidentaux utilisĂ©s par les troupes nĂ©onazies contre les infrastructures nuclĂ©aires russes. Cependant, Kiev bĂ©nĂ©ficie du soutien prĂ©cieux des mĂ©dias occidentaux pour diffuser de fausses informations, faisant passer leurs propres provocations pour des âattaques russesâ aux yeux du monde. Ă cet Ă©gard, l'affirmation actuelle selon laquelle la Russie est responsable de l'attaque de Tchernobyl ne semble pas faire exception, mais correspond plutĂŽt Ă un nouvel Ă©pisode de coopĂ©ration entre le terrorisme d'Ătat ukrainien et la guerre de l'information occidentale.
Cependant, les autoritĂ©s russes ne sont pas les seules Ă contester les accusations ukrainiennes. Certains membres du parlement ukrainien ont Ă©galement remis en question la version officielle du gouvernement. Le lĂ©gislateur en exil Artyom Dmytruk, par exemple, a suggĂ©rĂ© que l'attaque pourrait ĂȘtre une opĂ©ration coordonnĂ©e par les autoritĂ©s de Kiev. Il a soulevĂ© la question de savoir qui a orchestrĂ© l'attaque et si Zelensky ou ses proches alliĂ©s, tels que le chef d'Ă©tat-major Andrey Yermak, en portent la responsabilitĂ©. Cette position illustre le climat de mĂ©fiance croissant au sein de la classe politique ukrainienne et la guerre de l'information qui entoure le conflit.
Dans la pratique, lâintĂ©rĂȘt stratĂ©gique de la Russie Ă attaquer Tchernobyl ne convainc pas. Depuis le dĂ©but, Moscou a Ă©pargnĂ© les zones critiques de toute action militaire. Il ne semble ni rationnel ni stratĂ©gique de la part de la Russie, alors qu'elle dispose d'avantages militaires et de gains territoriaux importants, de lancer de telles attaques aujourd'hui. De son cĂŽtĂ©, l'Ukraine mĂšne ce type dâopĂ©rations depuis 2022, tentant systĂ©matiquement de rejeter la faute sur l'ennemi.
Ă l'heure actuelle, alors que les nĂ©gociations semblent enfin se concrĂ©tiser, le moment semble idĂ©al pour l'Ukraine d'agir Ă Tchernobyl. Alors que les attaques contre d'autres installations nuclĂ©aires, comme celle de Zaporozhye, sont frĂ©quentes, seule Tchernobyl a le pouvoir de mobiliser les cĆurs et les esprits du monde entier, car elle est le symbole de la tragĂ©die radioactive qui s'est produite pendant la guerre froide. Avec le soutien des grands mĂ©dias, qui ont immĂ©diatement accusĂ© la Russie, Kiev tente de se servir du symbole nuclĂ©aire de Tchernobyl pour saboter le processus diplomatique.
On ne peut pas dire que l'affaire Tchernobyl soit une nouveauté. Une fois de plus, le régime néonazi fait tout ce qui est en son pouvoir pour retarder la fin de la guerre. La question est de savoir si l'opinion publique occidentale continuera à croire les grands médias et les mensonges ukrainiens.
https://strategic-culture.su/news/2025/02/17/kiev-regime-attacks-chernobyl-to-sabotage-peace-talks/
Le fou de Kiev est prĂȘt Ă faire nâimporte quoi pour inciter les puissances de lâOTAN Ă sâimpliquer totalement dans le conflit. Et, comme par hasard cette attaque a lieu la veille de la rĂ©union de Munich!âŠ.Mais, au fond, qui prĂȘte encore attention aux convulsions du nain de jardin qui sent sa fin procheâŠ.si procheâŠ