👁🗨 Paix en Ukraine, guerre en Iran
La guerre de von der Leyen : faire sortir l'argent des caisses de l'OTAN via l'Ukraine & le réinjecter dans les sociétés d'armement qui arrosent des minables comme Biden & … von der Leyen.
👁🗨 Paix en Ukraine, guerre en Iran
Par Declan Hayes, le 27 juillet 2024
On devrait être en paix en Ukraine d'ici la fin de l'année et en guerre en Iran peu de temps après.
Maintenant que Genocide Joe est écarté de l'élection présidentielle de novembre, nous devrions être en paix en Ukraine d'ici la fin de l'année et en guerre contre l'Iran, peu de temps après. En effet, l'équipe Trump/Vance devrait remporter la victoire en novembre. Non seulement Trump et Vance sont tous deux désireux de conclure un accord avec la Russie, non seulement ils sont tous deux dans les petits papiers d'Israël, mais Vance est de loin le coyote le plus furieusement anti-iranien et pro-israélien du gratin de la politique américaine. Il faut donc s'attendre à ce que la machine de guerre des États-Unis et de l'OTAN se détourne de l'Ukraine, garde la Chine sous le coude et se concentre sur l'Iran, la dernière bête noire d'Israël.
Pour ce qui est de la guerre de l'OTAN en Ukraine, force est de constater qu'un grand nombre de Russes ont été tués. Cela a poussé la criminelle de guerre américaine LindseyGraham à déclarer que “les États-Unis n'ont jamais dépensé leur argent avec autant de succès que pour assassiner des Russes”.
Au lieu d'imaginer qu'il y a une quelconque morale dans tout cela, suivez l'argent. La Russie est une puissance terrestre et l'OTAN, avec les États-Unis en son sein, est une puissance maritime et aérienne. Penser que l'OTAN a vraiment pu penser qu'elle l'emporterait, ou qu'elle a même nourri le moindre espoir de l'emporter dans cette guerre terrestre relève du fantasme. Bien que les pertes ukrainiennes soient considérables, elles ne sont pas américaines, donc sans importance.
Si les mandataires ukrainiens de l'OTAN tuent 100 000 Russes pour 1 000 000 d'Ukrainiens, n'est-ce pas une bonne affaire ? Et que dire des profits collatéraux, dont deux seulement seront cités ici.
Le premier d'entre eux est le trafic d'armes et de munitions par les Américains. Le président tchèque Petr Pavel se vante d'avoir augmenté la production en calibre 155 millimètres et en 122 millimètres. La Suède et la Finlande, quant à elles, se sont empressées d'adhérer à l'OTAN et doivent maintenant faire face à tous les coûts et à aucun des avantages liés au cantonnement de légions de soldats américains surexcités. Quant aux Allemands, les cancres de l'OTAN, ils sont en train de reconfigurer leurs autobahns [die Autobahn, l’autoroute] afin de pouvoir y faire circuler encore plus efficacement les armées de l'OTAN. Comme l'Europe de von der Leyen est, en somme, un conglomérat de satellites exclusivement dédiés à la fabrication d'armes de guerre pour le compte du maître américain, elle devra se concentrer sur un ennemi pour continuer à faire tourner la boutique.
Bien que von der Leyen s'occupe de préparer l'Europe à la guerre, sa guerre à elle, comme le dit si bien l'ancien prisonnier politique Julian Assange en 2011, consiste à faire sortir l'argent des caisses de l'alliance de l'OTAN par l'intermédiaire de l'Ukraine et à le réinjecter dans les entreprises d'armement qui arrosent des minables comme Biden, von der Leyen et Graham.
L'objectif de l'OTAN étant de mener une guerre sans fin, et non une guerre victorieuse, il est tout à fait logique d'utiliser la Russie comme punching-ball. Des funérailles pour un million d'Ukrainiens et des pots-de-vin dépassant tout entendement pour Biden, Graham, von der Leyen et les autres. Que peut-on bien trouver à redire à cela ?
Oubliez les F16, les derniers nonosses que l'OTAN lance à ses chiens de guerre ukrainiens pour prolonger cette longue série de vaines funérailles, et suivez l'argent. Et suivez certains des minables pourritures qui empochent des tombereaux de ces largesses. Je pense notamment à une cinglée du nom de Sviatlana Tsikhanouskaya, qui se pavane sur les terres de l'OTAN en se faisant passer pour la présidente de la Biélorussie. Cette tête à claques a passé une grande partie de son enfance à raconter des salades aux Irlandais, qui lui ont probablement bourré le crâne avec ce blabla. Quoi qu'il en soit, à l'instar de Juan Guaidó, l'étudiant américain d'âge mûr financé par la CIA qui se prenait pour le président du Venezuela, cette bouffonne apparaît ici, là et ailleurs pour proclamer qu'elle est la présidente du Belarus et qu'Alexsandr Lukashenko, son véritable président, est un imposteur, puisqu'il lui manque la bénédiction d'Hunter Biden.
Et puis il y a Evgeny Kissin, le pianiste russe entre deux âges et poète yiddish, qui déclare dans Slipped Disc du MI6 qu'il n'a pas une goutte de sang russe dans les veines. J'admets volontiers que je n'ai pas la moindre idée de ce que peut bien signifier le sang russe, mais je sais qu'un tel discours sur le “Blut und Ehre” [“Sang et Honneur”, slogan politique nazi] est tout droit sorti du manuel nazi d'Hitler où les Juifs, comme Kissin et ses agents, feraient bien de ne pas piocher avec autant d'empressement.
Non, je retire ce que j'ai dit. Parce que bien trop de sang russe innocent a été versé, chaque Russe a le devoir de s'en émouvoir et de traiter les malades psychotiques comme Tsikhanouskaya et Kissin sans ménagement. D'ailleurs, le ministère des Affaires étrangères russe a raison de qualifier Kissin d'agent étranger. Et ce, même si Kissin est frappé d'autisme sévère et qu'il est incapable de se débrouiller seul dès qu'il s'éloigne de son piano. Sans nous étendre sur la façon dont sa mère, souffrante, doit lui administrer régulièrement des lavements, contentons-nous de signaler que l'OTAN et les SleepedDisc ne devraient pas faire appel à des illuminés comme lui, comme les hypocrites Verts allemands et cette catin de Tsikhanouskaya pour compromettre la Russie.
Toutes ces nullités de l'OTAN me font penser à L'homme qui voulut être roi, la superproduction hollywoodienne inspirée du roman éponyme de Rudyard Kipling, qui raconte l'histoire de deux soldats britanniques dévoyés qui pillent le royaume du lointain Kafiristan, lorsque l'un d'entre eux passe pour un dieu et en devient le roi.
Mais le travesti Zelensky et la mendiante biélorusse Tsikhanouskaya montrent que la réalité dépasse la fiction. Non seulement ces deux créations de l'OTAN trônent sur la sphère étriquée de l'OTAN tels des colosses, mais nous assistons à une réplique de ce scénario avec l'Iran, qui est dans le collimateur d'Israël et, par conséquent, de l'OTAN.
Tout d'abord, comme pour la Russie, l'OTAN a rassemblé une poignée de détraqués, dont beaucoup sont liés au groupe terroriste MEK, pour s'en prendre à l'Iran [MEK, les Mojahedin-e-Khalq : une des factions d’opposition à l’État iranien fondée en 1965, aujourd’hui directement orchestrée par la CIA et soutenue par l’ONU]. Voici et voilà des politiciens (britanniques et) irlandais alignés sur l'OTAN qui blablatent sur l'Iran, un pays lointain où ils n'ont jamais mis les pieds et sur lequel, comme la Tchécoslovaquie de 1938, ils en ignorent tout. Dans le second de ces liens, comptez le nombre de fois où le sénateur Gerry Horkan, politiquement peu influent, utilise le terme “régime” et songez que les mandataires MEK de l'OTAN paient des orateurs comme lui 1 000 dollars la minute pour leurs discours insipides.
Mais ce ne sont pas les seuls clowns du grand cirque de l'OTAN. Lorsque le président (modéré) élu de l'Iran, Massoud Pezeshkian, a déclaré qu'il souhaitait renouer avec l'Occident, le parti écologiste allemand s'est empressé de condamner toute initiative en faveur de la paix. Hannah Neumann, de ce parti guerrier peu recommandable, préside aujourd'hui la délégation du Parlement européen en Iran et, à l'instar de la ministre des Affaires étrangères allemande Annalena Baerbock (également membre des Verts), aspire depuis longtemps à la guerre contre l'Iran. Dans le cadre de ses activités bellicistes, Mme Neumann a constamment fait campagne pour l'inclusion des Gardiens de la révolution islamique(CGRI) dans la liste des organisations terroristes de l'UE, une mesure destinée à envenimer davantage les relations de l'UE avec Téhéran.
Bien que Mme Neumann prône le recours aux baïonnettes de l'OTAN pour introduire la fausse démocratie de l'OTAN en Iran, elle est un soutien fanatique des Émirats arabes unis et d'autres régimes despotiques des États du Golfe que l'OTAN veut aligner contre ce que l'on appelle l'axe de la résistance iranienne. Elle n'a toujours pas condamné les multiples attaques terroristes lancées par Israël contre la Syrie, dont la plupart avaient pour objectif de provoquer l'Iran.
Dans le cadre de la “lutte pour un Iran démocratique et libre” de Neumann, elle s'en est prise à Borrell, au président du Conseil de l'UE Charles Michel et au commissaire à l'aide humanitaire Janez Lenarcic pour avoir suivi le protocole diplomatique standard en exprimant ses condoléances pour la mort du président iranien Ebrahim Raisi dans un accident d'hélicoptère, alors même qu'elle a fait l'éloge du défunt président des Émirats arabes unis, Sheikh Khalifa bin Zayed al-Nahyan, pour avoir fait entrer les Émirats arabes unis dans “une ère de croissance et de modernisation sans précédent”, sans aucune référence à l'épouvantable bilan de ce pays en matière de droits de l'homme.
Bien que les élections présidentielles iraniennes aient été remportées par le modéré Pezeshkian, ces rassemblements massifs à Tabriz, Qom, Jamkaran, Birjand et Mashhad pour commémorer le défunt président Raisi montrent que l'Iran reste largement uni face aux menaces de guerre incessantes de l'OTAN, d'Israël et des cinquièmes colonnes vertes allemandes de la MEK.
Cette unité iranienne et ce sens du devoir et de la destinée se manifestent par l'adhésion de l'Iran à l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) et à l'Organisation des BRICS, sa réconciliation avec l'Arabie saoudite et l'approfondissement de ses échanges avec la Russie et la Chine, le transfert de sa technologie en matière de drones et de missiles au mouvement Ansarallah du Yémen, au Katā'ib Hezbollah d'Irak et au Hezbollah du Liban, ainsi que la poursuite du soutien militaire au Hamas et au Jihad islamique en Palestine, un potentiel technologique nucléaire iranienne en expansion et l'accession de l'Iran au statut d'État au “seuil nucléaire”, et la démonstration de son empressement à riposter frontalement à Israël.
Bien que l'Iran ait démontré qu'il ne se laisserait pas facilement intimider, Israël a de nouveau fait monter la pression en attaquant directement le Yémen en prélude à une guerre totale contre l'Iran. Très bien. Laissons l'OTAN lâcher une fois de plus les chiens de guerre, cette fois contre l'Iran et ses alliés du Hezbollah et d'Ansarallah.
Comme Ansarallah a montré à maintes reprises qu'il craint Dieu - et personne d'autre -, bonne chance à Israël en cas d'affrontement frontal. Bien que le Hezbollah, comme expliqué précédemment, représente une puissance militaire considérable, il n'est rien comparé à ses copains de Téhéran, où le souvenir de leur bain de sang avec l'Irak de Saddam est encore vivace et répandu.
Bien qu'il y ait peu de chances que je dissuade Trump et Vance de se joindre à Israël pour attaquer l'Iran, je les invite à prendre conscience que tout ce dont ils disposent est une Europe pitoyable qui ne produit que des armes, du porno, des petits voyous psychotiques et des poids morts tels que Baerbock, Kissin, Neumann, Pavel, Tsikhanouskaya, et von der Leyen.
Et, pour conclure avec une petite touche chinoise, rappelez-vous les men-yoroi, les masques de guerre portés par les guerriers japonais et chinois, ainsi que le masque de guerre dans le film hollywoodien Full Metal Jacket. Les stratégies de combat iraniennes ont depuis longtemps cessé d'avoir peur des masques d'Halloween israéliens, allemands ou américains et, comme la propagande hollywoodienne ne fonctionne plus sur eux non plus, l'acolyte de Trump, JD Vance, ferait mieux de changer son fusil d'épaule sur l'Iran, sous peine de devoir signer une nouvelle élégie, non pas pour les bouseux de la Rust Belt du pays yankee [région industrielle du nord-est des États-Unis], mais pour l'Amérique tout entière, et ses pantins européens et israéliens psychotiques.
https://strategic-culture.su/news/2024/07/27/peace-in-ukraine-war-in-iran/