đâđš Panique Ă lâOuest : La Russie propose la paix, lâOTAN perd ses nerfs, lâUkraine aux abonnĂ©s absents
Alors que la Russie tend la main pour reprendre les nĂ©gociations de paix Ă Istanbul, lâOccident sombre dans une panique spectaculaire. Depuis quand parler de paix est devenu si menaçant ?
đâđš Panique Ă lâOuest : La Russie propose la paix, lâOTAN perd ses nerfs, lâUkraine aux abonnĂ©s absents
Par Le Média en 4-4-2, le 15 mai 2025
Il faut croire que lâodeur de la diplomatie fait fuir certaines capitales occidentales comme lâail repousse les vampires. Alors que la dĂ©lĂ©gation russe, menĂ©e par des nĂ©gociateurs chevronnĂ©s, pose enfin pied Ă Istanbul pour relancer les discussions de paix sur lâUkraine, les chancelleries de lâOTAN, elles, entrent dans une transe collective qui frĂŽle le ridicule.
Lâennemi du moment ? Pas les missiles, non. Pas mĂȘme la montĂ©e des tensions militaires. Le vĂ©ritable danger, semble-t-il, ce sont des experts russes, calmes, compĂ©tents et prĂȘts Ă parler de tout â du droit international Ă la situation militaire sur le terrain. En somme, des adultes dans une piĂšce oĂč les enfants occidentaux jettent leurs jouets diplomatiques par terre.
Selon lâagence TASS, la porte-parole du ministĂšre russe des Affaires Ă©trangĂšres, Maria Zakharova, ne sâen cache pas :
âNous sommes face Ă une panique Ă ciel ouvert. Les ministres des Affaires Ă©trangĂšres de lâOTAN, les bureaucrates bruxellois, tout ce beau monde se rĂ©pand en communiquĂ©s absurdes toutes les cinq minutesâ.
Et pour cause : lâarrivĂ©e dâune Ă©quipe expĂ©rimentĂ©e, dirigĂ©e par Vladimir Medinsky, semble leur rappeler Ă quel point leurs propres protĂ©gĂ©s sont⊠disons, moins solides Ă la table des nĂ©gociations.
Pendant que Moscou sâassoit calmement, Kiev brille par son absence. La dĂ©lĂ©gation ukrainienne ? Toujours introuvable. Peut-ĂȘtre sont-ils encore en train de consulter Macron pour savoir quel mot prononcer en premier.
Pendant ce temps, à Paris, Berlin et Bruxelles, les réactions se succÚdent, plus confuses les unes que les autres :
âCertains parlent dâun ballon, dâautres dâune chaise⊠On est clairement passĂ©s de la diplomatie Ă la cour de rĂ©crĂ©ationâ, ironise Zakharova.
Le plus savoureux dans cette cacophonie ? Câest lâOccident qui, Ă longueur de dĂ©clarations, rĂ©clame une paix âjuste et durableâ. Et pourtant, dĂšs quâun processus concret sâenclenche, câest la panique. Une panique visiblement provoquĂ©e par la simple idĂ©e que la Russie puisse sâexprimer posĂ©ment, avec des arguments, et non par des slogans creux.