👁🗨 Qu'on en finisse avec les dingues bellicistes de l'OTAN !
L’infime minorité non élue de l'ouest - Stoltenberg, Blinken, Cameron, Nuland, ces pantins ventriloques - obéit aux ordres des maîtres de guerre du complexe militaro-industriel & de l'élite bancaire.
👁🗨 Qu'on en finisse avec les dingues bellicistes de l'OTAN !
Par Finian Cunningham, le 28 mai 2024
Aussi incroyable que cela puisse paraître, le monde est poussé vers l'abîme de la guerre nucléaire par des crétins occidentaux sans envergure et de surcroît non élus.
Jens Stoltenberg, le responsable civil du bloc militaire de l'OTAN, est le dernier imbécile en date à plaider pour que les États-Unis autorisent le ciblage de la Russie avec des armes longue portée.
On nous fait croire que la figure de proue norvégienne a fait une percée conceptuelle (combien a-t-il été payé et par qui ou sur quoi a porté le chantage ?) en déclarant au magazine The Economist que le régime ukrainien devrait désormais être officiellement autorisé à utiliser les missiles de l'OTAN pour frapper la Russie.
Cependant, Stoltenberg, dont la logique relève de celle du tank, a affirmé qu'une telle mesure n'entraînerait pas d'escalade de la guerre entre la Russie et l'OTAN, car les tirs ne proviendraient pas des pays membres de l'OTAN.
Stoltenberg pense donc qu'il est possible de transformer l'Ukraine en base de lancement de missiles balistiques sur Moscou, et que la Russie ne perçoit pas les pays de l'OTAN comme une cible légitime ?
Il a ajouté, comme pour mieux rassurer :
“Nous n'avons pas l'intention d'envoyer de troupes terrestres de l'OTAN en Ukraine parce que notre objectif... est double : soutenir l'Ukraine comme c’est déjà le cas, mais aussi veiller à ce que cela ne dégénère pas en un conflit à grande échelle”.
Le culot de Stoltenberg et d'autres décideurs occidentaux réside en ce que, en toute arrogance, ils considèrent que non, leurs agissements ne contribuent pas une escalade simplement parce qu'ils l'affirment. Comme si on balançait un coup de poing au visage de quelqu'un, et avoir le culot de lui dire ensuite que non, juste parce qu'on le dit.
L'ancien premier ministre norvégien, qui va bientôt quitter ses fonctions à l'OTAN pour occuper un poste prestigieux dans une banque centrale, est la dernière voix occidentale à faire monter les enchères dans la guerre par procuration menée par les États-Unis contre la Russie en Ukraine.
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken - l’aspirant guitariste de rock qui n'a pas la moindre idée de ce qu'il chante - a également rejoint la liste des politicards enthousiastes qui demandent instamment que l'Ukraine soit autorisée à frapper le territoire russe avec des armes longue portée fournies par l'OTAN.
Le ministre britannique des Affaires étrangères, Lord David Cameron, un tocard tout droit sorti d'Eton, a décrété que l'Ukraine a “tout à fait le droit” d'utiliser des missiles de croisière Storm Shadow fournis par le Royaume-Uni, et de procéder à des frappes sur le territoire de la Russie d'avant-guerre.
Parmi les autres incitateurs de facto à la guerre nucléaire, on peut citer le président de la Chambre des représentants des États-Unis, Mike Johnson, un extrémiste religieux qui croit que Dieu est anticommuniste, ainsi que Victoria Nuland, l'ex-diplomate américaine à l'origine du coup d'État de 2014 à Kiev qui ouvert la voie à l'actuel régime néonazi.
Tous exhortent l'administration Biden à abandonner les restrictions officielles imposées au régime ukrainien fantoche pour utiliser des missiles occidentaux afin de frapper la Russie.
La marionnette ukrainienne Vladimir Zelensky, qui a annulé les élections mais continue d'exercer ses fonctions, a demandé à ses collaborateurs occidentaux manipulateurs de lui accorder toute liberté pour frapper la Russie bien au-delà de ses frontières.
Le concept de “permission officielle” n’est qu’un cynique tour de passe-passe. Les Ukrainiens, grâce à la logistique et aux armes de l'OTAN, ont déjà ciblé l'intérieur de la Russie.
Les infrastructures pétrolières et les bases militaires à l'intérieur des frontières russes d'avant-guerre ont été fréquemment frappées par missiles et drones. Il est inconcevable qu'un tel objectif puisse être atteint sans l'implication de l'OTAN, y compris par le biais de conseillers sur le terrain.
Néanmoins, la contradiction rhétorique est significative. Si l'administration Biden donne officiellement son feu vert à de telles agressions, il s'agirait d'une escalade violente et explicite, que la Russie ne pourra pas feindre d'ignorer.
La Russie a déjà prévenu que toute frappe sur son territoire provenant d'armes de l'OTAN entraînerait des représailles au-delà de l'Ukraine. Comme par exemple une attaque aérienne russe contre des pays membres de l'OTAN.
Cette semaine, Moscou a organisé des exercices de déploiement d'armes nucléaires tactiques. Le critère invoqué par la Russie pour justifier l'usage de ce type d'armes est la menace stratégique qui pèse sur la nation russe, même si cette menace provient d'ennemis utilisant des armes conventionnelles.
L'Occident et son mandataire ukrainien sont sur le point de franchir ce seuil catastrophique. La semaine dernière, l'un des dispositifs radar balistiques d'alerte de la Russie, situé dans le sud-ouest de la région de Krasnodar, aurait été touché par une attaque de drone. L'un des objectifs de ce raid visait à neutraliser la capacité de la Russie à intercepter les ogives conventionnelles ATACMS à longue portée que les États-Unis sont prêts à fournir à l'Ukraine. Une autre interprétation, beaucoup plus sinistre, est que l'Occident sonde la capacité des défenses nucléaires de la Russie.
Quand cette guerre par procuration a éclaté il y a plus de deux ans avec l'intervention de la Russie en Ukraine, après huit années d'armement et de provocation incessants du régime néonazi par l'OTAN, les membres de l'OTAN se sont livrés à d'angoissantes discussions entre élites pour savoir s'il fallait envoyer des “armes létales”, et pas seulement des casques, des lunettes de vision nocturne et des radios.
Deux ans plus tard, les délibérations de l'OTAN ne se limitent plus à l'envoi de chars, d'avions de chasse F-16 et de missiles de croisière, mais adoptent désormais la ligne officielle approuvant les frappes à grande échelle de la Russie à l'aide d'ogives balistiques.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, ceux qui ne cessent de repousser les limites ne sont qu'une infime minorité dans les sociétés occidentales, une minorité non élue - Stoltenberg, Blinken, Cameron, Nuland, entre autres. Ces pantins ventriloques obéissent aux ordres des maîtres de la guerre, du complexe militaro-industriel et de l'élite bancaire.
Les élites bellicistes prétendent que l'Ukraine est pieds et poings liés si elle ne peut pas bombarder la Russie à sa guise. En réalité, c'est la Russie qui doit se contenter d'écouter des gens tels que Stoltenberg et ses semblables prôner des frappes sur la Russie depuis les bases de tir de l'OTAN en Ukraine - et pourtant, la Russie est censée ne pas exercer de représailles contre l'OTAN.
Il est certain qu'une ligne rouge fatidique est imminente. La folie gouverne les élites occidentales alors que le monde glisse vers l'abîme.
Les citoyens du monde doivent appeler à l'arrestation de ces criminels protégés... avant qu'il ne soit trop tard.
https://strategic-culture.su/news/2024/05/28/arrest-these-insane-nato-warmongers/
L'éternel 2 poids 2 mesures : les bellicistes 0tano/américains s'arrogent le droit de frapper la Russie, qui "n'aurait pas le droit de riposter"... on se pince !...