👁🗨 Un clown, une farce, et pas si drôle que ça
Il est temps de signifier aux nazis ukrainiens de la CIA et aux truands comme Zelensky, Joe et Hunter Biden qui les exploitent, d’aller au diable.
👁🗨 Un clown, une farce, et pas si drôle que ça
Par Declan Hayes, le 11 janvier 2025
Bien que les récents articles de Russia Today sur l'interview du dictateur ukrainien Zelensky avec le podcasteur populaire Lex Fridman n'aient probablement pas été conçus pour faire rire, Zelensky est au mieux de sa forme lorsqu'il joue à l'homme d'État. Si vous arrivez à imaginer un spectacle de la Nativité dans un jardin d'enfants qui déraille parce que Zelensky, dans le rôle principal, est un écervelé avec un sérieux problème de Coca, c’est que vous avez cerné le patron de Kiev.
Tout d'abord, bien que Zelensky et Fridman soient tous deux de langue maternelle russe, Zelensky a refusé de mener l'interview en russe parce que cela ferait le jeu de Poutine (qui parle allemand au Reichstag), de Mme Zakharova (qui pratique un excellent mandarin) et de Lavrov (polyglotte notoire). Si Zelensky avait voulu transmettre des idées complexes et nuancées, il aurait pu, bien sûr, s'exprimer dans l'une des langues dans lesquelles lui et Fridman sont le plus à l'aise, plutôt que d'utiliser un cocktail de russe, d'ukrainien approximatif et d'anglais à tâtons, réservé célébrités obscures de Hollywood, ou ceux qui le surpassent de loin dans le registre de la comédie. Bien que le podcast ait été agrémenté de sous-titres en anglais pour faire croire que la prestation de Zelensky était plus palpitante qu'elle ne l'était vraiment, le fait est que Zelensky, contrairement à Poutine, Lavrov et Zakharova, n'a rien d'intéressant à dire ni en russe, ni en ukrainien, ni en mandarin, ni en anglais, ni dans aucune autre langue. Ce type est un clown, une farce, pas très drôle d'ailleurs.
Tout d'abord, Zelensky a déploré que l'Ukraine ait renoncé à son arsenal nucléaire conformément au mémorandum de Budapest du 5 décembre 1994, qui a éliminé les armes nucléaires de l'Ukraine, de la Biélorussie et du Kazakhstan. Outre le fait que Zelensky souhaite probablement que le Belarus et le Kazakhstan s'équipent à nouveau, la Russie, au cas où il n'y aurait pas pris garde, possède le plus grand arsenal nucléaire au monde et, si ce clown pédant veut que la Russie fasse pleuvoir son arsenal nucléaire sur Kiev dans le cadre d'une seconde frappe préventive ou de représailles, il est sans aucun doute mûr pour la camisole de force.
On peut également citer son affirmation grotesque selon laquelle le chef du Belarus, M. Loukachenko, se serait excusé pour quelque chose que ni lui ni son pays n'ont voulu faire. Si l'on fait abstraction de la nature peu conciliante de Loukachenko, Zelensky n'a aucune chance de détacher la Biélorussie de la Russie. Cela n'arrivera jamais, et ni Zelensky, ni ses collaborateurs de longue date de la CIA ne devraient même tenter une telle opération.
Ensuite, on peut citer les tentatives de Zelensky pour que les États-Unis fassent don à l'Ukraine de 300 milliards de dollars d'actifs russes gelés ou volés. Mme Zakharova a qualifié cette idée de
“combinaison démentielle de néo-nazisme, de terrorisme et de délire médicamenteux”, avant d'ajouter que “le dirigeant ukrainien a complètement perdu la boule”.
Ce qui, bien entendu, est le cas, mais c'est précisément pour cela que cet archi-sioniste et strip-teaseur à la retraite a été placé à la tête de la satrapie ukrainienne de l'OTAN.
Zelensky n'est pas fait pour être pris au sérieux. Il est là pour servir de trompe-l’oeil non seulement vis à vis à la Russie, mais surtout de la majorité des Ukrainiens qui en ont plus qu'assez de voir leurs amis et leur famille mourir pour l'enrichir, lui et ses acolytes. Les Italiens auraient lynché Mussolini et sa maîtresse pour bien moins que ça.
Mais Mussolini, malgré tous ses défauts, n'est plus là, ce qui n'est malheureusement pas le cas de Zelensky, et des milliers de gens continuent de mourir parce que cet imbécile continue d'avoir accès aux ondes et aux coulisses du pouvoir, où il ne devrait justement pas se trouver. Zelensky est une œuvre de la CIA au même titre que L'Homme qui voulut être roi est une nouvelle de Kipling, dans laquelle deux sergents de l'armée britannique s'introduisent au Kafiristan, où ils sont pris pour des dieux mais finissent par être crucifiés lorsque les habitants se rendent compte de la supercherie.
Peut-être le jeu est-il organisé de manière à ce que des charlatans comme Zelensky puissent toujours prospérer, même s'ils sont manifestement des imposteurs doublés d'escrocs. Les Ukrainiens ordinaires ne sont pas en mesure de changer les choses alors que la CIA dispose d'escadrons de la mort nazis grassement subventionnés, et que les 4,4 millions d'abonnés de Fridman sont trop bornés pour voir Zelensky comme le clown en bois qu'il est.
Mais ne spéculons pas davantage. Trump doit larguer Zelensky, et si Elon Musk veut vraiment empêcher les enfants d'être violés à la chaîne, il devrait faire la lumière sur les innombrables enfants prostitués ukrainiens souillés par le dépravé Hunter. Comme pour Mussolini, Ceauşescu et les créations de Kipling, il est aussi grand temps de signifier aux nazis ukrainiens de la CIA et aux truands comme Zelensky, Joe et Hunter Biden qui les exploitent, d'aller au diable.