👁🗨 Une histoire vraie sur Israël et la Palestine
Par Caitlin Johnstone, le 20 octobre 2023
“Euhhh, je pense qu'il a peut-être compris la leçon”, dit encore quelqu'un timidement.
“Ouais, il est peut-être temps de penser à déposer les armes”, ajoute quelqu'un d'autre.
“Que voulez-vous qu’on fasse ?” dit le mari. “Ces sauvages ne connaissent que la violence !”
Un jour, un époux et sa femme, installés sur un homme, prennent le thé .
La femme demande : “Avons-nous encore du lait ?”
“Oui, la moitié d'une brique”, répond le mari.
“A L'AIDE !” a crié l'homme.
“Ah, c'est bien”, dit la femme. “Je me disais que j’aurais bien repris une tasse de thé après celle-là”.
“Hmm, peut-être que je vais en prendre une avec toi”, dit le mari.
“C’est un excellent thé”, dit la femme.
“Vous m'écrasez !”, hurle l'homme.
Le mari demande : “Tu crois qu'il va pleuvoir aujourd'hui ?”
“Peut-être”, répond la femme. “Il fait un peu gris dehors, tu as vu ?”
“Je ne peux plus respirer”, hurle l'homme. “JE MEURS !”
“Je vais attendre un peu avant d'arroser le jardin”, dit le mari.
“En voilà une bonne idée... ahhh !” hurle la femme.
Sa cheville saigne. L'homme sur lequel ils étaient installés l'avait tailladée avec un morceau de verre qu'il avait trouvé par terre.
“Qu'est-ce qui t'est arrivé ? Qu'est-ce qui s'est passé ?”
“IL M'A COUPÉE !”
“Espèce de salaud ! Je vais te tuer !”
Ils se mettent tous les deux à piétiner l'homme avec colère et à lui sauter dessus.
“Monstre ! Saloperie !”
“On va t'apprendre à nous agresser !”
Des passants s’arrêtent, remarquant l'agitation ambiante.
"Qu'est-ce qui s'est passé ?” “De quoi s'agit-il ?"
“Nous étions là, occupés à nos affaires, et ce monstre nous a attaqués, sans qu'on ait rien fait “, dit le mari en donnant un coup de pied à l'homme au niveau de l'aine.
“Nous étions en train de boire tranquillement le thé et de vaquer à nos occupations”, sanglote la femme en piétinant le cou de l'homme. “Personne n'aurait pu prédire un tel drame !”.
“Oh non !”- s'écrient les autres. “Nous sommes avec vous !”
'“Attrapez-le ! Frappez plus fort !” cria quelqu'un.
Un grand homme musclé se précipite vers eux.
“Voilà un bon paquet d'armes”, dit-il. “Faites lui payer à ce bâtard !”
Le mari et la femme se mettent à poignarder et à taillader l'homme avec les armes. Ils le poignardent, le poignardent, le tailladent, le tailladent, se vengeant furieusement sur sa chair.
Ils lui hurlent : “Mais qu'est-ce qu'on t'a fait, enfin ?”
Et ils ne cessent de taillader, de trancher, d'entailler, de découper. Le sang gicle dans tous les sens. Les cris emplissent l'air.
Au bout d'un moment, l’expression des visages des spectateurs commence à changer.
“Combien de temps allez-vous continuer à le frapper comme ça ?” demande quelqu'un.
“Jusqu'à ce qu'il disparaisse”, crient-ils.
Et ils continuent à tailler dans le vif.
“Euhhh, je pense qu'il a peut-être compris la leçon”, dit encore quelqu'un timidement.
“Ouais, il est peut-être temps de penser à déposer les armes”, ajoute quelqu'un d'autre.
“Que voulez-vous qu’on fasse ?” dit le mari. “Ces sauvages ne connaissent que la violence !”
Et ils ont poursuivi leur massacre tandis que les spectateurs se montrent de plus en plus mal à l'aise.
Une femme fond en larmes.
L'un des hommes s'est enfui en vomissant.
Quelqu'un a dit : “Oh mon Dieu ! Qu'avons-nous fait ?”
Je ne sais pas encore ce qui se passe ensuite…