đâđš Ursula von der Leyen utilise lâArticle 122 pour interdire les pays dâĂȘtre consultĂ©s & partir Ă la guerre
DerriĂšre son activisme guerrier, von der Leyen semble surtout vouloir sauver sa peau & celle des eurocrates qui tiennent Bruxelles. La peur est un outil puissant pour maintenir un systĂšme sous perfusi
đâđš Ursula von der Leyen utilise lâArticle 122 pour interdire les pays dâĂȘtre consultĂ©s & partir Ă la guerre
Par le Media 4-2-2, le 12 mars 2025
800 MILLIARDS dâeuros dĂ©bloquĂ©s par Bruxelles grĂące Ă lâarticle 122, un 49.3 europĂ©en qui contourne les peuples ! Pendant que Trump, Poutine et Zelensky nĂ©gocient la paix, lâUE finance un rĂ©armement massif.
Alors que la paix en Ukraine semble Ă portĂ©e de main avec lâouverture de nĂ©gociations entre Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky et Donald Trump, Ursula von der Leyen, elle, joue une toute autre partition. Loin de se rĂ©jouir Ă lâidĂ©e dâune dĂ©sescalade, la PrĂ©sidente de la Commission europĂ©enne multiplie les sorties belliqueuses, prĂŽnant un renforcement massif de lâarmement europĂ©en. Mais ce qui inquiĂšte le plus, câest lâoutil quâelle a dĂ©jĂ utilisĂ© : lâarticle 122 du TraitĂ© sur le fonctionnement de lâUnion europĂ©enne (TFUE), un vĂ©ritable passe-droit pour contourner les dĂ©mocraties nationales et imposer la politique guerriĂšre de Bruxelles sans demander lâavis des peuples.
Lâarticle 122 : un 49.3 Ă la sauce europĂ©enne
Lâarticle 122 du TFUE permet Ă lâUE dâadopter des mesures exceptionnelles en cas de crise sans passer par un vote des Ătats membres. PrĂ©sentĂ© initialement comme un outil de solidaritĂ© pour rĂ©pondre Ă des situations dâurgence, il a Ă©tĂ© dĂ©tournĂ© par von der Leyen pour lever 800 milliards dâeuros destinĂ©s Ă la course Ă lâarmement contre la Russie. En clair, Bruxelles a dĂ©jĂ engagĂ© des sommes colossales pour la guerre, forçant les pays europĂ©ens Ă investir massivement dans lâindustrie militaire, sans quâaucun Parlement national ne puisse sây opposer.
Von der Leyen lâa dit sans fard :
âLa paix ne peut plus ĂȘtre tenue pour acquiseâ et âlâheure est Ă la paix par la forceâ.
Une déclaration qui en dit long sur ses intentions. Si vis pacem, para bellum, la maxime latine reste son credo.
Mais au moment oĂč des nĂ©gociations de paix voient le jour, son activisme militariste interroge. Lâobjectif nâest-il pas de maintenir lâUE sous tension pour justifier son propre pouvoir ?
Trump en embuscade, lâUE en danger de mort
Avec Donald Trump dĂ©sormais PrĂ©sident des Ătats-Unis, von der Leyen sait que son rĂšgne touche Ă sa fin. Trump ne cache pas son dĂ©dain pour lâUnion europĂ©enne, quâil considĂšre comme une bureaucratie inutile face Ă la souverainetĂ© des nations. Si la paix revient, que restera-t-il de cette UE façonnĂ©e autour de la peur et du conflit ?
DerriĂšre son activisme guerrier, von der Leyen semble surtout vouloir sauver sa propre place et celle des eurocrates qui tiennent Bruxelles. La peur est un outil puissant pour maintenir un systĂšme sous perfusion. Mais si la paix triomphe, alors lâUE, telle quâelle existe aujourdâhui, risque de se fissurer sous le poids de ses contradictions.
Lâarticle 122 nâest ni plus ni moins quâun coup de force contre les peuples europĂ©ens. En imposant une fuite en avant militaire sans consultation dĂ©mocratique, Ursula von der Leyen menace non seulement la paix, mais aussi lâavenir mĂȘme de lâUnion europĂ©enne. Une Union qui, Ă force de vouloir imposer ses vues par la contrainte, pourrait bien finir par sâĂ©crouler sous le poids de son propre autoritarisme.