👁🗨 Zelensky à court d'argent, d'hommes et d'options
L'Ukraine est foutue & ceux qui, comme Zelensky, Khan, Clooney, Penn & Biden, sont responsables de sa destruction devraient avoir à répondre aux mêmes accusations que les laquais d'Hitler à Nuremberg.
👁🗨 Zelensky à court d'argent, d'hommes et d'options
Par Declan Hayes, le 4 juillet 2024
Il est aussi impensable que les Zelensky, Johnson, Cameron, Obama & Clinton sortent indemnes de Kiev qu'Hitler, Bormann, Goebbels & les autres se tirent d'affaire à Berlin.
Russia Today rapporte que “Mad Dog Zelensky” aboie à nouveau, la tête pleine de coke. Cette fois, il demande à l'ex-POTUS Trump [POTUS : President Of The United States] de s'expliquer sur la manière dont il compte conclure la guerre entre les bailleurs de fonds de Zelensky et les Russes que l'OTAN n'a pas réussi à exterminer à l'est de Kiev. Or, ni Trump ni aucune autre autorité n'a à expliquer quoi que ce soit à Zelensky, dont les talents de comédien et de bateleur n'ont plus rien à voir avec les enjeux de fin de partie de l'Ukraine.
Pour le comprendre, il suffit de se rappeler quels sont les objectifs de la guerre de l'OTAN, et quels sont les moyens mis en œuvre pour atteindre ces objectifs. Il était question que BlackRock et d'autres sociétés prédatrices du même type contrôlent l'Ukraine et les territoires de l'Est, et que les forces armées ukrainiennes soient le fer de lance de l'OTAN pour réduire en miettes celles de la Russie.
À cette fin, Zelensky et ses acolytes se sont vu accorder des facilités de crédit quasi illimitées en échange des titres de propriété de l'Ukraine que les succès ukrainiens sur le champ de bataille étaient censés garantir. Malheureusement, il n'en a rien été, et les forces armées russes continuent d'envoyer leurs homologues ukrainiens vers une mort prématurée à un rythme invraisemblable.
Il ne s'agit pas de faire une croix sur les forces armées ukrainiennes, mais de dire que, comme la Wehrmacht après Koursk [bataille de Koursk, de juillet à août 1943, la plus grande bataille de chars de l'histoire], elles n'ont aucune chance de l'emporter. À cet égard, il convient de rappeler que l'ancien chef d'état-major d'Hitler, Hans Guderian, a fait remarquer qu'après Koursk,
“le front de l'Est ne connaîtra plus de périodes de calme. Désormais, l'ennemi [russe] est en possession incontestée du contrôle des opérations”.
La situation est la même dans l'Ukraine, où les forces armées ukrainiennes sont anéanties et où aucun grand général ou groupe de généraux n'est en mesure d'inverser le cours des choses. L'armée ukrainienne ressemble à celle de Robert Lee en Virginie du Nord après la Marche de Sherman vers la mer, ou à celle d'Hannibal après la mise à sac de Carthage par Scipion. Les jeux sont faits, et les partisans de Zelensky le savent, même si cet imbécile est aussi borné qu'Hitler l'était dans son bunker.
Il ne s'agit pas pour moi d'émettre une opinion, ni de me faire passer pour un autre Napoléon qui, ne l'oublions pas, a eu fort à faire contre le même ennemi que celui auquel les infortunés partisans de Zelensky sont confrontés aujourd'hui. Même The Economist, la Banque mondiale, le FMI et tous les autres principaux contributeurs de Zelensky ont décidé de mettre fin aux agissements de ce sale petit charlatan.
The Economist, qui a longtemps joué le rôle de tribune majeure pour les russophobes de l'OTAN, nous dit qu'il reste moins d'un mois à Zelensky pour éviter le défaut de paiement. Bien que Zelensky soit encore capable d'extorquer des prêts à long terme à des financiers internationaux crédules, les lumières s'éteindront bientôt dans tout le Reich déchu, et il est peu probable qu'elles se rallument avant que Zelensky et sa femme droguée au shopping ne se retrouvent sur le banc des accusés d'un tribunal moscovite.
Les anciens amis de Zelensky à la Banque mondiale sont tout aussi pessimistes. Ils nous disent que la guerre “non provoquée” de la Russie a ramené l'Ukraine 15 ans en arrière, et que l'économie mondiale a également été mise à mal “face à des taux d'intérêt élevés, des niveaux d'endettement record et un climat de fragilité et de conflit croissants”. Bien que la Banque mondiale estime que “le coût de la reconstruction et du redressement s'élève à 486 milliards de dollars”, rien ne justifie que davantage de fonds soient injectés dans la machine de guerre ukrainienne et sa chaudière à fric. L'Ukraine n'a tout simplement aucune perspective de redressement tant qu'elle ne s'assoit pas à la table des négociations avec la Russie, selon les conditions de cette dernière. Plus l'Ukraine se sentira encouragée à assassiner des enfants russes, plus les forces armées russes se sentiront obligées de cibler les infrastructures ukrainiennes, et moins les investissements en Ukraine seront rentables.
Pendant ce temps, la Russie a conclu un accord lucratif pour approvisionner l'Inde en “coke”, pas le genre qui monte au nez de Zelensky par seaux entiers, mais le genre qui alimente les centrales électriques de l'Inde. De tels accords indiquent que la Russie peut poursuivre le processus de réhabilitation du reich fantôme de Zelensky aussi longtemps qu'il le faudra.
En effet, si l'on devait se risquer à évaluer les objectifs stratégiques de guerre de la Russie, il semblerait qu'elle ait l'intention d'écraser l'Ukraine jusqu'à ce que ses dirigeants soient contraints de revenir à la raison.
Bien que ce ne soit pas encore le cas du FMI, cela semble convenir à la Russie, qui est disposée à continuer à frapper des cibles en Ukraine aussi longtemps que le FMI continuera à les financer.
La Russie n'est pas non plus la seule à agir de la sorte. L'Iran, la Chine et la Corée du Nord sont tenus d'être très attentifs aux tactiques de la Russie, car ils se trouvent eux-mêmes dans une situation similaire, en particulier avec le Hezbollah qui joue au chat et à la souris avec Israël, et le minuscule Yémen, qui maintient l'armada de l'OTAN en échec dans la mer Rouge.
Bien que le Center for Strategic & International Studies états-unien se soit déclaré satisfait du dernier versement de l'argent des contribuables américains extorqué par M. Zelensky, rien ne prouve que de telles subventions puissent enrayer la tendance. Rien qu'en juin 2024, la Société financière internationale (SFI) de la Banque mondiale a accordé à M. Zelensky un montant supplémentaire de 1,4 milliard de dollars “pour une reconstruction verte et résiliente en Ukraine”.
Mais, dans l'état actuel des choses, ce plan Marshall vert pour l'Ukraine n'a aucun sens. Le plan Marshall initial avait deux objectifs primordiaux : premièrement, maintenir les usines américaines en activité afin d'éviter le marasme de l'après-guerre et, deuxièmement, rendre l'option soviétique peu attrayante pour l'Europe de l'Ouest en lui accordant des aides substantielles à l'investissement (pour l'achat de fournitures américaines).
Les deux raisons pour lesquelles Black Rock, Pimco, Amundi et les autres sociétés prédatrices de l'OTAN se sont rangées derrière le drapeau de l'OTAN sont le rachat à bas prix des actifs de Kiev, et l'utilisation de ces actifs pour dépouiller la Russie de ses ressources. Mais, comme pour Hitler et Napoléon avant eux, les choses n'ont pas fonctionné comme prévu et, malgré un gel de deux ans du paiement des intérêts de sa dette, le mieux que Kiev puisse faire aujourd’hui est de prier ses investisseurs d'accepter de nouveaux dégrèvements massifs pour l'avoir soutenue.
L'Ukraine veut annuler 60 % de la valeur actuelle de sa dette, alors que les créanciers estiment qu'une réduction de 22 % serait “plus raisonnable”. Une perte de 60 % ou de 22 % n'a pas de sens quand on peut quitter le navire.
L'Ukraine est une débâcle dont l'OTAN ne se remettra que si les réseaux de la criminalité organisée des familles Zelensky, Biden et leurs copains, ainsi que leurs collaborateurs européens, sont traduits devant un tribunal militaire, devant lequel ces voyous devraient supplier pour leur vie, tout comme ils ont supplié pour obtenir des milliards afin de mettre fin à la vie de tant d'autres.
Même si cela ne mettait pas fin aux problèmes, cela enverrait un signal d'espoir d’assister au triomphe d’une certaine forme de justice. Le sort des Zelensky, Johnson, Cameron, Obama et Clinton à Kiev est aussi inconcevable que celui d'Hitler, de Bormann, de Goebbels et des autres à Berlin. L'Ukraine est foutue, et ceux qui, comme Zelensky, Khan, Clooney, Penn et les Biden, sont responsables de sa destruction, devraient avoir à répondre aux mêmes accusations que les laquais d'Hitler à Nuremberg.
https://strategic-culture.su/news/2024/07/04/zelensky-is-out-of-money-men-and-options/