đâđš Zelensky, le prĂ©sident fantoche de Kiev, veut maintenant la paix, ou plutĂŽt sa part du gĂąteau
Le dictateur de Kiev parle peut-ĂȘtre tardivement de paix âde toute urgenceâ, mais ce n'est pas crĂ©dible. La vraie urgence est de trouver un autre moyen de maintenir le racket de la guerre en Ukraine.
đâđš Zelensky, le prĂ©sident fantoche de Kiev, veut maintenant la paix, ou plutĂŽt sa part du gĂąteau
Ăditorial, le 26 juillet 2024
Tout à coup, le régime de Kiev semble vouloir se donner une chance de parvenir à la paix. Cette semaine, le prétendu président Vladimir Zelensky a déclaré à l'envoyé du Vatican, le cardinal Pietro Parolin, qu'il était urgent de trouver une issue pacifique au conflit avec la Russie afin d'éviter de nouvelles pertes humaines.
âJe pense que nous comprenons tous qu'il faut mettre fin Ă la guerre dĂšs que possible, bien sĂ»râ, a dĂ©clarĂ© M. Zelensky au secrĂ©taire d'Ătat du Vatican lors d'une rĂ©union Ă Kiev.
Il y a quelques mois à peine, M. Zelensky a rejeté les appels du pape François en faveur d'un rÚglement diplomatique de la pire guerre qu'ait connue l'Europe depuis la Seconde Guerre mondiale.
Au dĂ©but du mois, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a essuyĂ© le mĂȘme mĂ©pris lorsqu'il s'est rendu Ă Kiev pour appeler Ă une fin nĂ©gociĂ©e du conflit.
Mais soudain, un changement de ton s'est opéré à Kiev.
Le lendemain du jour oĂč Zelensky a publiĂ© sa prĂ©tendue intention de paix, le ministre des Affaires Ă©trangĂšres du rĂ©gime de Kiev, Dmytro Kuleba, s'est envolĂ© pour la Chine afin de rencontrer Wang Yi, le plus haut diplomate chinois.
âLa partie ukrainienne est disposĂ©e et prĂȘte Ă dialoguer et Ă nĂ©gocier avec la partie russeâ, a annoncĂ© M. Kuleba.
âJe suis convaincu qu'une paix juste en Ukraine est dans l'intĂ©rĂȘt stratĂ©gique de la Chine, et le rĂŽle de la Chine en tant que force mondiale pour la paix est essentielâ, a-t-il ajoutĂ©, afin de s'attirer les faveurs de PĂ©kin.
Au début de l'année, la Chine et le Brésil ont soumis conjointement un plan de négociations de paix. Cette proposition a été rejetée d'emblée par le régime de Kiev.
Ce qui se passe actuellement n'est rien d'autre qu'une manĆuvre cynique du rĂ©gime de Kiev pour Ă©tendre son racket sur la survie et la corruption.
Zelensky et ses comparses se sont enrichis de maniĂšre obscĂšne en siphonnant les centaines de milliards d'aide militaire et financiĂšre que les Ătats-Unis et leurs laquais europĂ©ens de l'OTAN ont dĂ©versĂ©s sur l'Ukraine pour mener une vaine guerre par procuration contre la Russie.
AprÚs deux ans et demi de guerre et plus de 500 000 soldats ukrainiens morts - dont beaucoup ont été enrÎlés de force - le bilan est lourd. La guerre par procuration de l'OTAN constitue un échec historique d'une ampleur monstrueuse.
La Russie a pris le dessus sur le plan militaire - comme l'avaient prĂ©dit de nombreux analystes indĂ©pendants - et elle ne reculera pas tant qu'elle n'aura pas atteint tous ses objectifs. Le rĂ©gime nĂ©onazi doit ĂȘtre liquidĂ©, l'Ukraine ne doit jamais adhĂ©rer Ă l'OTAN et l'ensemble des effectifs ukrainiens doivent se retirer complĂštement des cinq territoires qui font dĂ©sormais lĂ©galement partie de la FĂ©dĂ©ration de Russie, dont la CrimĂ©e et le Donbass.
Si le régime de Kiev souhaite négocier cette capitulation, les conditions de la Russie sont déjà sur la table, comme l'a souligné le président Vladimir Poutine le mois dernier.
AprÚs des mois de promesses fantaisistes du régime de Kiev et de ses sponsors de l'OTAN de continuer à se battre, la dure réalité de la défaite est désormais incontournable.
Dans tous les pays de l'OTAN, l'opinion publique a cessé de soutenir la cabale corrompue de Kiev et le massacre aveugle qu'elle a encouragé pour prolonger le racket de la guerre. Les gouvernements et médias occidentaux attendent du public occidental qu'il soutienne un régime corrompu en distribuant sans cesse des fonds publics, tout en subventionnant le logement gratuit de millions d'Ukrainiens qui ont fui ce régime répressif.
Sentant sans doute le changement de climat, le gouvernement allemand serait en train de réduire - à hauteur de 50 % - son aide militaire à l'Ukraine.
Aux Ătats-Unis, oĂč les sondages montrent que la majoritĂ© des AmĂ©ricains - comme la majoritĂ© des EuropĂ©ens - souhaitent un rĂšglement nĂ©gociĂ© en Ukraine, la perspective d'une prĂ©sidence Trump aprĂšs les Ă©lections de novembre est Ă©galement trĂšs rĂ©elle.
Trump et son candidat à la vice-présidence, le sénateur JD Vance, ont catégoriquement déclaré qu'une nouvelle administration n'accordera plus de soutien inconditionnel à l'Ukraine. Le régime de Kiev aura pour instruction de trouver un accord de paix avec la Russie qui implique d'accepter les conditions de Moscou.
Le rĂ©gime de Kiev du prĂ©sident fantoche Zelensky est l'une des pires rĂ©alitĂ©s de ces derniĂšres annĂ©es. Fruit d'un coup d'Ătat soutenu par la CIA en 2014 contre un prĂ©sident Ă©lu, le rĂ©gime a conduit l'Europe au bord de la guerre mondiale. Son mĂ©pris total pour les vies ukrainiennes et russes fait horreur. Et tout cela pour quelques dollars de plus qui viennent gonfler les portefeuilles de biens immobiliers et de comptes bancaires Ă l'Ă©tranger.
L'Ă©poque oĂč Zelensky voyageait de par le monde pour obtenir toujours plus d'argent du contribuable est rĂ©volue. L'escroquerie a fini par lasser et par agacer. Elle a dĂ©passĂ© le stade du simulacre.
Cependant, l'escroquerie de l'OTAN et des nĂ©onazis de Kiev est tellement embrouillĂ©e et saturĂ©e de mensonges des mĂ©dias occidentaux qu'il est difficile d'y mettre un terme. âMais, mais, mais... on nous a dit qu'il s'agissait de dĂ©fendre la dĂ©mocratie et les valeurs occidentales contre l'agression russeâ. Comment faire la lumiĂšre sur ce scandaleux tour de passe-passe ?
Tout d'abord, le mandat de Zelensky en tant que prétendu président a expiré en mai, aprÚs qu'il a refusé d'organiser des élections. Il s'agit donc d'un président illégitime, dépourvu de toute autorité légale. Bref, un dictateur de pacotille. DÚs lors, avec qui la Russie négocie-t-elle si un processus de paix est réellement engagé ?
DeuxiĂšme anomalie : Zelensky a promulguĂ©, il y a prĂšs de deux ans, un dĂ©cret interdisant les nĂ©gociations avec la Russie. Si le rĂ©gime de Kiev souhaite rĂ©ellement mettre fin Ă la violence par la diplomatie, il doit abroger ce dĂ©cret douteux. Il ne l'a pas fait. Peut-ĂȘtre ne se souvient-il mĂȘme pas de cette mesure.
L'histoire des relations avec le rĂ©gime de Kiev et ses maĂźtres de l'OTAN est truffĂ©e de malversations et de trahisons. Personne ne croit plus ce que racontent ces gens, mĂȘme s'ils apposent leur signature sur un traitĂ©. Les accords de paix de Minsk en 2015 ont Ă©tĂ© dĂ©libĂ©rĂ©ment sabotĂ©s par les puissances de l'OTAN, les promesses de non-expansion de l'OTAN vieilles de plusieurs dĂ©cennies ont Ă©tĂ© une farce grotesque, la formule de paix qui a fait l'objet d'une mĂ©diation par la Turquie au dĂ©but de 2022 - qui aurait pu sauver la vie de 500 000 soldats ukrainiens - a Ă©tĂ© cyniquement balayĂ©e par Washington et Londres.
La junte ukrainienne parle peut-ĂȘtre tardivement de trouver la paix âde toute urgenceâ, mais ce n'est pas crĂ©dible. La vĂ©ritable urgence est de trouver un autre moyen d'action pour maintenir le racket de la guerre en Ukraine.
Pour mettre fin à ce conflit irresponsable, les manipulateurs de l'OTAN à Washington et à Bruxelles doivent prendre conscience que leur sordide manÚge géopolitique est terminé. Les conditions posées par la Russie pour une résolution pacifique sont raisonnables et justes, et sont sur la table depuis longtemps.
L'OTAN et ses larbins de Kiev vont devoir se rendre Ă l'Ă©vidence : leur guerre est perdue. Elle a Ă©tĂ© engagĂ©e sur le mensonge et la fraude politique. Il ne sera pas facile de rĂ©vĂ©ler les tromperies que les Ătats-Unis et leurs vassaux de l'OTAN ont fait subir Ă leurs citoyens et au reste du monde. Mais c'est Ă eux de rĂ©soudre ce problĂšme, qui aura, Ă terme, un prix politique dĂ©vastateur.
En attendant, la Russie ne discutera pas avec le petit coursier véreux dépourvu d'autorité qui cherche désespérément à s'extirper de l'enfer que son régime a co-créé.
Il est Ă©vident que ce retournement imprĂ©vu est dictĂ© par les commanditaires anglo-saxons de Kiev...et uniquement eux. Bruxelles, simple vassale, qui hier encore condamnait l'initiative de Viktor Orban, est la cocue de service et va attendre interloquĂ©e les ordres du secrĂ©tariat de l'OTAN ! Le but pour Washington, qui manĆuvre en ce moment dans le Pacifique, empĂȘtrĂ© au Moyen-Orient et soumis Ă une campagne prĂ©sidentielle cahotique a besoin de gagner du temps pour se recharger...un petit cessez-le-feu, messieurs les Russes? Vous reprendrez bien une petite pilulle de Minsk? Le temps que la CIA puisse former des terroristes et pourrir la situation dans quelques mois ? Le plus vicieux dans tout cela, c'est d'impliquer la Chine comme initiateur d'une confĂ©rence de paix afin de se dĂ©charger d'un Ă©ventuel Ă©chec...Si vraiment, il y a pourparlers, je sens quez le mensonge et le cynisme vont ĂȘtre les premiers invitĂ©s Ă la table cĂŽtĂ© Occident...Surtout si on parle rĂ©parations, BlackRock et Cargill, tribunaux pour crimes de guerre depuis 2014, etc ...