👁🗨 Burisma nous intéresse depuis 2014.
Il y a sept ans avait lieu le Russiagate. Voici aujourd'hui FD-1023, un document du F.B.I. montrant l’usage totalement corrompu de l'exercice du pouvoir par Biden en Ukraine de l'après-coup d'État.
👁🗨 Burisma nous intéresse depuis 2014.
Consortium News, le 24 septembre 2023
Alors que l'enquête sur la destitution de Joe Biden s'accélère, “Burisma Holdings” pourrait bien devenir un sujet d'actualité aux États-Unis. Voilà neuf ans que Consortium News s'intéresse à cette histoire.
Et nous avons l'intention de continuer à la suivre à l'approche d'une éventuelle mise en accusation de Joe Biden. Aidez-nous à assurer la couverture de cette affaire au fur et à mesure que nous en apprenons davantage sur ce que Joe Biden faisait réellement en Ukraine il y a dix ans.
Après le coup d'État de 2014
Le gouvernement de Kiev, mis en place par les États-Unis, a interdit les partis politiques, y compris le Parti communiste, et a retiré au russe son statut de langue officielle. Le Parti des Régions du président déchu Viktor Ianoukovitch a été interdit dans plusieurs régions et a fini par péricliter. Un citoyen américain a été nommé ministre des finances et le vice-président Joe Biden est devenu le vice-roi virtuel de Barack Obama en Ukraine. Trois mois plus tard, la plus grande société gazière privée d'Ukraine, Burisma Holdings, a nommé le fils de Joe Biden, Hunter Biden, à son conseil d'administration.
Des vidéos* ont été diffusées montrant M. Biden donnant des instructions au président désigné de l'époque, Petro Porochenko. De son propre aveu, M. Biden a contraint Viktor Shokin, procureur général de l'Ukraine, à démissionner.
Ce dernier a déclaré sous serment qu'il était sur le point d'enquêter sur Burisma Holdings, la société au sein de laquelle le fils du vice-président s'était vu confier un mandat lucratif quelques mois seulement après le coup d'État soutenu par les États-Unis.
M. Biden, d'autres fonctionnaires américains et les médias de l'époque ont menti en affirmant que M. Shokin avait été démis de ses fonctions pour cause de corruption. Les notes de service du département d'État publiées l'année dernière et diffusées par Just the News font en réalité l'éloge de Shokin pour son travail de lutte contre la corruption. La question de savoir si le dirigeant d'un pays étranger a le droit de révoquer le procureur d'un autre pays a été enterrée. Avec l'apparition de l'ordinateur portable de Hunter Biden, d'autres mensonges ont fait surface, comme le fait que Joe Biden n'a prétendument jamais été impliqué dans les affaires de Hunter.
Voici quelques-uns des nombreux articles que nous avons publiés à partir de septembre 2014, sept mois après le coup d'État, lorsque notre rédacteur en chef fondateur, Bob Parry, a présenté pour la première fois l'histoire de Burisma à ses lecteurs.
24 septembre 2014
Extrait de l'article :
“Le fait que ce soit le vice-président Joe Biden qui ait exigé du président Ianoukovitch qu'il retienne sa police le 21 février, décision qui a ouvert la voie aux milices néonazies et au coup d'État soutenu par les États-Unis, renforce encore la thèse du “motif du gaz naturel”. Puis, à peine trois mois plus tard, la plus grande entreprise gazière privée d'Ukraine, Burisma Holdings, a nommé le fils de Biden, Hunter Biden, à son conseil d'administration.”
26 septembre 2019
Extrait de l'article :
“C'est le plus grand crime de cette histoire dont on ne parle pas. Le renversement illégal d'un gouvernement souverain. Comme butin du coup d'État, le fils du vice-président en exercice, Hunter Biden, a rapidement obtenu un siège au conseil d'administration du plus grand producteur de gaz ukrainien, Burisma Holdings. Cela ne peut être considéré que comme une manœuvre néo-coloniale transparente visant à prendre le contrôle d'un pays et à y installer son propre peuple”.
8 octobre 2019
Extrait de l'article :
“Peut-on imaginer l'administration Trump réussissant finalement à renverser le gouvernement vénézuélien et, quelques mois plus tard, le fils du vice-président Mike Pence (qui n'a pas été renvoyé de la marine pour usage de drogues) décroche une place au conseil d'administration d'une compagnie pétrolière nationale vénézuélienne privatisée ?
C'est exactement ce qui s'est passé avec Biden et son fils Hunter en Ukraine.
Et puis imaginons que le gouvernement de Juan Guaidó, mis en place par les États-Unis, ouvre une enquête sur la corruption au sein de la compagnie pétrolière et veuille interroger le fils de Pence. Pence se rend donc à Caracas, et dit à Guaidó qu'il n'obtiendra pas le crédit d'un milliard de dollars américains tant que le procureur n'aura pas été démis de ses fonctions. Six heures plus tard, le procureur commence à débarrasser son bureau et Pence s'en vante plus tard lors d'un forum public au Council on Foreign Relations [Conseil des affaires étrangères].
C'est exactement ce que Biden a fait en Ukraine.
Le procureur vénézuélien limogé déclare ensuite sous serment que Pence l'a fait licencier parce qu'il enquêtait sur la société où travaille son fils, et que les États-Unis avaient pris le contrôle du bureau du procureur du pays.
C'est exactement ce qu'a déclaré le procureur ukrainien.”
12 novembre 2019
Extrait de l'article :
“Les mises en scène politiques soulèvent plusieurs questions. Pour commencer, Joe Biden fera-t-il l'objet d'une enquête en raison des preuves de corruption de plus en plus nombreuses ? Et pourquoi les médias dominants font-ils passer le “lanceur d'alerte de la C.I.A. pour un fantôme ?”
31 juillet 2023
Extrait de l'article :
“Il y a sept ans, la fuite des courriels du DNC a déclenché le Russiagate. Voici maintenant FD-1023, un document du F.B.I. montrant Biden faisant un usage totalement corrompu de l'influence de Washington dans l'Ukraine de l'après-coup d'État.”
19 septembre 2023
Extrait de l'article :
“Suite aux déclarations hautement provocatrices de Zelensky, il est temps de se demander si le président américain a un intérêt personnel à prolonger la guerre en Ukraine.”
* *. *
Voici un avant-goût de ce qui nous attend : la semaine dernière, les républicains ont interrogé le procureur général Merrick Garland sur l'enquête de Hunter Biden, à propos de laquelle Amanda Devine du New York Post a écrit :
“[Garland] veut que nous saluions son incurie pathologique concernant la corruption de l'enquête [du conseiller spécial xx ] Weiss, telle qu'elle a été exposée par les deux courageux lanceurs d'alerte de l'IRS [Internal Revenue Service, l'agence du gouvernement fédéral des États-Unis qui fait respecter les lois fiscales concernant le budget fédéral des États-Unis], Gary Shapley et Joseph Ziegler". Ces fonctionnaires professionnels et impartiaux, que Garland prétend soutenir, sont les héros de cette histoire sordide.
Ils ont sacrifié leur carrière pour témoigner des lenteurs, du traitement de faveur dont aucun autre Américain n'a bénéficié, des tuyaux sur les perquisitions, des contraintes imposées aux enquêteurs, des zones à éviter aux abords du grand homme, du refus de procéder à la localisation pour déterminer si Joe était vraiment dans la pièce, comme Hunter l'a prétendu, au cours de sa séance d'extorsion via WhatsApp auprès d'un bienfaiteur chinois, la dissimulation de preuves incriminantes telles que le rapport de source FD-1023 du FBI alléguant que Hunter et Joe ont chacun reçu un pot-de-vin de 5 millions de dollars d'un oligarque ukrainien, et bien sûr, le fameux ordinateur portable de Hunter, que le FBI avait authentifié et saisi en décembre 2019, mais qui restait interdit d'accès aux enquêteurs de l'IRS.”
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