đâđš Medvedev sur les armes nuclĂ©aires Ă Kiev
On dirait que ma triste blague sur Biden, sénile et fou, impatient de partir en fanfare et d'emporter avec lui une grande partie de l'humanité, est en passe de devenir dangereusement réelle.
đâđš Medvedev sur les armes nuclĂ©aires Ă Kiev
Par amarynth, November 26, 2024
âLes politiciens et journalistes amĂ©ricains se penchent rĂ©ellement sur les consĂ©quences de la fourniture d'armes nuclĂ©aires Ă Kiev. On dirait que ma triste blague sur Biden, sĂ©nile et fou, impatient de partir en fanfare et d'emporter avec lui une grande partie de l'humanitĂ©, est en passe de devenir dangereusement rĂ©elle. Fournir des armes nuclĂ©aires Ă un pays en guerre contre la plus grande puissance nuclĂ©aire ? L'idĂ©e est tellement absurde que l'on soupçonne Joe le mort vivant et tous ceux qui pĂšsent le pour et le contre d'un tel acte d'ĂȘtre atteints d'une psychose paranoĂŻaque massive.
Aussi aberrantes que soient ces initiatives, voici ce que j'en pense :
1) La simple intention de transfert d'armes nucléaires au régime de Kiev sera perçue comme menaçante et préparatoire à un conflit nucléaire avec la Russie.
2) Le transfert de telles armes pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme le dĂ©clenchement d'une attaque contre notre pays, conformĂ©ment au paragraphe 19 des âPrincipes de base de la politique d'Ătat en matiĂšre de dissuasion nuclĂ©aireâ.
Les conséquences sont évidentes.
https://globalsouth.co/2024/11/26/medvedev-on-nuclear-weapons-to-kiev/
Biden est un Ă©cran de fumĂ©e. C'est Obama le donneur d'ordre, le responsable politique rĂ©el. L'ex-prĂ©sident est restĂ© le vrp de l'industrie militaire mĂȘme aprĂšs la fin de ses mandats. C'est lui l'exĂ©cutif. Pas le commanditaire mais le besogneux, l'intrigant inamovible du systĂšme bien rodĂ© qu'il a dirigĂ© pendant 8 longues annĂ©es Ă crĂ©er l'insĂ©curitĂ© sur notre planĂšte. Il fera tout pour entamer un point de non-retour avant le 20 janvier. Pour piĂ©ger Trump ? Je ne pense pas que ce soit personnel entre les 2 hommes qui n'ont jamais Ă©tĂ© en conflit d'ailleurs mais c'est surtout que l'agenda trumpiste n'est plus le mĂȘme qu'en 2016 oĂč le candidat a fermĂ© les yeux sur les prĂ©paratifs de l'Ukraine pendant 4 ans.
Cette fois-ci, il s'agit de mettre les bouchées double car la situation évolue trop rapidement en Europe également. Les élections Roumaines donnent de l'inquiétude aux 'atlantistes' et pourraient faire tùche d'huile dans les autres pays déjà surchauffés par l'incohérence de l'UE face aux importations massive et déloyale de produits agricoles ukrainiens ou d'accords désavantageux avec le Mercosur. L'opinion bien que préparée à une 'eventuelle' invasion Russe ridicule en ArdÚche assez de voir son pouvoir d'achat diminuer alors que la seule réponse des politiques est la mobilisation et la guerre .
L'heure est donc venue pour la bourse de New-York (qui se porte à merveille, merci) de passer à la vitesse supérieure.
Il n'y aura pas de risque nuclĂ©aire Ă©videmment, Medvedev le sait bien, les occidentaux ne sont pas fous. Ils se contentent d'Ă©nerver leur adversaire en jouant sur les dĂ©clarations. Peut-ĂȘtre vont-ils fournir de l'uranium appauvri comme par le passĂ© en Irak ou a IsraĂ«l derniĂšrement pour que Kiev puisse faire quelques provocations mais juste assez pour que Moscou se retienne encore une fois de plus ...
La guerre des nerfs. Et Obama consacré par les actionnaires.