De lâautre cĂŽtĂ© des check-points on a oubliĂ© : la force et lâentrain de vivre dans les pires conditions. De lâautre cĂŽtĂ©, on est fort, comblĂ©, mais toujours tapi dans la plainte du malheur.
Belle exposition, message poignant, bouleversant qui met Ă mal les convictions, les certitudes et la raison. Au delĂ de ces clichĂ©s qui tĂ©moignent de lâhorreur vĂ©cue par ces populations martyres, force est de constater quâil nây aura sans doute personne pour peindre un « GUERNICA » toile Ă combien cĂ©lĂšbre de Pablo Picasso tĂ©moignant du drame vĂ©cu par la population de ce village espagnol qui a subi, le 26 avril 1937 un bombardement « intense » pendant đđđȘđ đđđȘđ§đđš! et dont le bilan humain est estimĂ© Ă 1654 morts et plus de 800 blessĂ©s!, les massacres qui ont cours en Palestine ne donneront pas lieu Ă toute la littĂ©rature qui a suivi le massacre dâOradour sur Glane en juin 1944, (643 morts!), pas mĂȘme ceux qui ont suivi les bombardements de Dresde en 1945 (35000 morts) voire ceux dâHiroshima et de Nagasaki (AoĂ»t 1945) 90000 Ă 140000 morts et 60-80000 morts respectivementâŠ.La tragĂ©die Palestinienne dĂ©passe en ampleur toutes les monstruositĂ©s du passĂ© , mais elles ne figurent pas comme une des prĂ©occupations majeures des MSM ou de lâopinion internationale malgrĂ© des bilans dantesques probablement sous-estimĂ©s (voir the Lancet)âŠ
Triste, Triste planĂšteâŠ..
Et pourquoi on n'essaierait pas de créer une sorte de ⊠je ne sais pas, petit livre regroupant photos/dessins+textes par mois de guerre ?
Je suis sceptique. Cela constituerait une sorte dâalmanach morbide dont nos yeux et tous nos sens sont dâores et dĂ©jĂ saturĂ©s. Le seul moyen qui reste est, Ă mon avis, de mettre le feu, une fois pour toute Ă la poudriĂšreâŠ.et, « Dieu reconnaĂźtra les siens »âŠ.
Mettre le feu ? Et comment ?
Oui, je comprends! LĂ est la question cruciale! Ne sâimprovise pas pyromane ou rĂ©volutionnaire qui veut!
LĂ , il convient dâavouer notre impuissance etâŠ..notre rageâŠ.
La rage, oui, Ă en craquer aux coutures !
Belle exposition, message poignant, bouleversant qui met Ă mal les convictions, les certitudes et la raison. Au delĂ de ces clichĂ©s qui tĂ©moignent de lâhorreur vĂ©cue par ces populations martyres, force est de constater quâil nây aura sans doute personne pour peindre un « GUERNICA » toile Ă combien cĂ©lĂšbre de Pablo Picasso tĂ©moignant du drame vĂ©cu par la population de ce village espagnol qui a subi, le 26 avril 1937 un bombardement « intense » pendant đđđȘđ đđđȘđ§đđš! et dont le bilan humain est estimĂ© Ă 1654 morts et plus de 800 blessĂ©s!, les massacres qui ont cours en Palestine ne donneront pas lieu Ă toute la littĂ©rature qui a suivi le massacre dâOradour sur Glane en juin 1944, (643 morts!), pas mĂȘme ceux qui ont suivi les bombardements de Dresde en 1945 (35000 morts) voire ceux dâHiroshima et de Nagasaki (AoĂ»t 1945) 90000 Ă 140000 morts et 60-80000 morts respectivementâŠ.La tragĂ©die Palestinienne dĂ©passe en ampleur toutes les monstruositĂ©s du passĂ© , mais elles ne figurent pas comme une des prĂ©occupations majeures des MSM ou de lâopinion internationale malgrĂ© des bilans dantesques probablement sous-estimĂ©s (voir the Lancet)âŠ
Triste, Triste planĂšteâŠ..
Et pourquoi on n'essaierait pas de créer une sorte de ⊠je ne sais pas, petit livre regroupant photos/dessins+textes par mois de guerre ?
Je suis sceptique. Cela constituerait une sorte dâalmanach morbide dont nos yeux et tous nos sens sont dâores et dĂ©jĂ saturĂ©s. Le seul moyen qui reste est, Ă mon avis, de mettre le feu, une fois pour toute Ă la poudriĂšreâŠ.et, « Dieu reconnaĂźtra les siens »âŠ.
Mettre le feu ? Et comment ?
Oui, je comprends! LĂ est la question cruciale! Ne sâimprovise pas pyromane ou rĂ©volutionnaire qui veut!
LĂ , il convient dâavouer notre impuissance etâŠ..notre rageâŠ.
La rage, oui, Ă en craquer aux coutures !