Des soldats décrivent l'absence quasi-totale de règles dans la guerre à Gaza, les soldats tirant à leur guise, brûlant les maisons, laissant des cadavres dans les rues, avec l'aval de leur hiérarchie.
La question que l’on se pose est: Comment peut-on, décemment, mener une vie ordinaire après avoir participé à de telles orgies meurtrières ?
L’indifférence affichée par les auteurs de ces abominations est déjà pathologique, il s’agit, comme souvent dans de semblables situations, d’une sorte de folie collective qui dépouille les soldats de tout frein moral, et de la conscience même de commettre des actes odieux.
Les images de colons accompagnés de leurs enfants parfois très jeunes qui détruisent les produits transportés par les convois humanitaires sont elles aussi complètement démentes. Reproduisant ce qu'ils ont subi au 20è siècle sans ciller. Mais le bouquet, c'est quand même la communauté internationale incapable de mettre un frein - donc complice. Je ne trouve même pas le terme qui décrive mon - notre - ressenti face à la spectaculaire lâcheté criminelle de "nos" dirigeants. Un abime moral.
En effet, il est difficile de concevoir qu’en 2024, de semblables horreurs puissent se produire sans qu’aucun effort ne soit fait par une communauté internationale complaisante, pour y mettre un terme. Et, oui, il est très difficile d’exprimer, par des mots, ce que l’on ressent devant une telle déchéance….
La question que l’on se pose est: Comment peut-on, décemment, mener une vie ordinaire après avoir participé à de telles orgies meurtrières ?
L’indifférence affichée par les auteurs de ces abominations est déjà pathologique, il s’agit, comme souvent dans de semblables situations, d’une sorte de folie collective qui dépouille les soldats de tout frein moral, et de la conscience même de commettre des actes odieux.
C’est, tout simplement, hallucinant !…
Les images de colons accompagnés de leurs enfants parfois très jeunes qui détruisent les produits transportés par les convois humanitaires sont elles aussi complètement démentes. Reproduisant ce qu'ils ont subi au 20è siècle sans ciller. Mais le bouquet, c'est quand même la communauté internationale incapable de mettre un frein - donc complice. Je ne trouve même pas le terme qui décrive mon - notre - ressenti face à la spectaculaire lâcheté criminelle de "nos" dirigeants. Un abime moral.
En effet, il est difficile de concevoir qu’en 2024, de semblables horreurs puissent se produire sans qu’aucun effort ne soit fait par une communauté internationale complaisante, pour y mettre un terme. Et, oui, il est très difficile d’exprimer, par des mots, ce que l’on ressent devant une telle déchéance….