Alors que la guerre par procuration des États-Unis & de l'OTAN en Ukraine contre la Russie entre dans une phase de défaite désastreuse, l'élite occidentale doit faire taire tous les médias critiques.
Deux précisions. Pavel Dourov (j'écris son patronyme avec l'usage francophone en phonétique et non à l'anglo-saxonne qui invariablement écrit Putìn au lieu de Poutine chez nous, cocorico) a QUATRE nationalités! (Citoyen d'une île free-tax des Caraïbes, rien d'original mais symptomatique !). C'est un personnage assez singulier que je qualifierais presque d'enfant gâté....et là j'aborde l'autre sujet qui est déformé, celui de sa relation avec le FSB russe il y a quelques années (2018, je crois) quand les services anti-terroristes lui ont demandé s'il était possible d'avoir un accès prioritaire lors d'affaires sérieuses au coup par coup et cela dans une procédure encadrée par un juge. Une simple loi aurait suffit à faire plier Pavel mais le FSB s'est montré raisonnable et n'a pas insisté devant l'obstination du PDG de télégram (ou de son frère ?). Cette histoire mal interprétée puisque personne en Russie n'a demandé aucun code de décryptage au réseau social a été montée en épingle par les ONG de l'époque financées par on sait qui (cf le discours de Maria Zakharova). Dont acte.
Deux précisions. Pavel Dourov (j'écris son patronyme avec l'usage francophone en phonétique et non à l'anglo-saxonne qui invariablement écrit Putìn au lieu de Poutine chez nous, cocorico) a QUATRE nationalités! (Citoyen d'une île free-tax des Caraïbes, rien d'original mais symptomatique !). C'est un personnage assez singulier que je qualifierais presque d'enfant gâté....et là j'aborde l'autre sujet qui est déformé, celui de sa relation avec le FSB russe il y a quelques années (2018, je crois) quand les services anti-terroristes lui ont demandé s'il était possible d'avoir un accès prioritaire lors d'affaires sérieuses au coup par coup et cela dans une procédure encadrée par un juge. Une simple loi aurait suffit à faire plier Pavel mais le FSB s'est montré raisonnable et n'a pas insisté devant l'obstination du PDG de télégram (ou de son frère ?). Cette histoire mal interprétée puisque personne en Russie n'a demandé aucun code de décryptage au réseau social a été montée en épingle par les ONG de l'époque financées par on sait qui (cf le discours de Maria Zakharova). Dont acte.