3 Commentaires
juin 2Liké par Spirit's FreeSpeech

Bravo et merci pour votre analyse, la seule Ă  ĂȘtre factuelle et sans parti pris.

Je serais (presque !) curieuse de connaĂźtre votre fonctionnement et vos sources, qui contrastent tant avec la submersion de mensonges et de manipulations...

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Merci :) Soutien de longue date de Julian Assange, les méthodes de Wikileaks ont été le plus précieux des enseignements, en ce sens que seul le factuel est incontestable. Au fil des ans, j'ai repéré les journalistes (pour l'essentiel indépendants bien sûr) ne travaillant que sur la base de documentation authentifiée ou de faits avérés. Un secret qui n'en est pas un, mais que peu de médias acceptent de pratiquer - hélas.

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Excellente analyse qui souligne , si besoin en Ă©tait, l’acharnement des dirigeants Occidentaux Ă  s’engager de plus en plus dans un conflit direct avec la Russie. Il semble que les rĂ©ticences du Chancelier Scholtz s’amenuisent face Ă  l’ardeur guerriĂšre du prĂ©sident Macron Ă  la recherche d’un leadership europĂ©en qui satisferait son Ă©go dĂ©mesurĂ©. Ainsi soit-il!

Cependant, je suis assez irritĂ© par le dĂ©bat actuel sur l’utilisation des armes occidentales sur le territoire Russe.

En effet, au delĂ  des contorsions sĂ©mantiques relatives Ă  la dĂ©nomination des « évĂ©nements » qui secouent l’Ukraine, il me semble qu’il faut appeler un chat un chat! Et, ce qui s’y dĂ©roule est bien une guerre, ne saisissant pas trĂšs bien, quant Ă  moi, ce qui l’en distingue d’une OpĂ©ration Militaire SpĂ©ciale.

Ce qui devrait (et fait) faire objet de dĂ©bat, c’est le degrĂ© d’implication de l’OTAN et ce sont les frontiĂšres Ă©lastiques de la Co-belligĂ©rance. Il y a longtemps, Ă  mon sens, que celles-ci ont Ă©tĂ© franchies, par les livraisons d’armes, de renseignements et de personnel sur le terrain.

Quant Ă  l’autorisation de frapper en territoire Russe, le dĂ©bat que cela suscite me semble inappropriĂ©. Il s’agit d’une guerre, d’une vraie guerre, et, Ă  la guerre, tous les coups (ou presque) sont permis. La Russie frappe bien l’Ukraine Ă  partir de son territoire, pourquoi n’en serait-il pas de mĂȘme pour l’Ukraine? Non, Non! Ne bondissez pas , je suis profondĂ©ment convaincu de la justesse de la cause Russe et souhaite ardemment sa victoire mais le problĂšme n’est pas lĂ .

La Russie devrait se dĂ©faire de cette appellation « contrĂŽlĂ©e » (SMO) et rĂ©soudre les problĂšmes auxquels elle est confrontĂ©e: - Identification et neutralisation des points de passage de l’armement Occidental (Ces points de passage sont, je n’en doute point parfaitement identifiĂ©s) -Neutralisation des voies de transport de ce matĂ©riel vers l’Est de l’Ukraine, et, surtout, me semble t-il reconsidĂ©rer l’importance stratĂ©gique du contrĂŽle d’Odessa, des ports de la Mer Noire et des rĂ©gions frontaliĂšres de l’Ukraine, points de passage obligĂ©s de l’armement Occidental , ce qui, en mĂȘme temps permettrait d’assurer un passage vers la Transnistrie.. Il s’agit lĂ , bien entendu de paroles d’un profane. Profane qui , toutefois se rend bien compte des difficultĂ©s que comportent ces dĂ©clarations.

En effet, cela supposerait, une mobilisation gĂ©nĂ©rale et l’implication de moyens matĂ©riels et humains considĂ©rables, de la part de la Russie, de plus cela Ă©roderait sans doute, le soutien de la population Russe Ă  la politique du prĂ©sident Poutine.

Ce ne sont que des paroles, des spĂ©culations dont se jouent bien souvent les Ă©vĂ©nements. Les dirigeants fous de l’OTAN finiront par dĂ©clencher l’étincelle qui mettra le feu aux poudres . Et lĂ , il est difficile de prĂ©voir l’extension du conflit. La patience de Poutine a des limites qui ne sont pas loin d’ĂȘtre atteintes, et les capitales Occidentales devraient craindre l’extension, Ă  leur territoire d’un conflit qu’ils ont contribuĂ© Ă  crĂ©er et qu’ils ont soigneusement entretenu et amplifiĂ©.

Sinon? Eh bien, il faut limiter les dĂ©gĂąts
identifier et dĂ©truire les dĂ©pĂŽts d’armes, les voies de communication, l’origine des drones et batteries qui menacent le territoire Russe,et amĂ©liorer les dĂ©fenses anti-aĂ©riennes des objectifs potentiels, en attendant
.que le combat cesse faute de combattants 


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