Snowden a prouvé que le plus grand courage est parfois de se préserver. Au moins, le journaliste, s'il survit, peut continuer à intervenir comme Snowden & Assange l'ont fait, en servant la vérité.
Il faut sans doute remercier la famille Biden dont ce sera le premier acte (et le dernier) de bonté...Il va sans dire que cette comédie de juridiction aux îles Mariannes totalement illégale aux regards des lois internationales n'a fait aucunement illusion. Mais le fait est là, Biden a saisi cette opportunité pour sa campagne, en sachant que Trump, lui aurait choisi l'empoisonnement pour se débarrasser d'Assange et c'est cela qu'il faut retenir , n'en déplaise aux propagandistes de Trump !
Pas si sûr… Je ne pense pas que Biden ait décidé de quelque mesure indulgente que ce soit concernant Assange - il rêvait de le coffrer, le décrivant depuis des lustres comme "un terroriste high tech". Trump en revanche, dans le mois précédant l'investiture de Biden, a déclaré à plusieurs reprises qu'il souhaitait gracier Assange et Snowden - mais on l'a menacé à l'époque d'une procédure d'"impeachment" s'il n'entendait pas raison. Dans un cas comme dans l'autre, de toute façon, c'est plutôt l'"état permanent" qui tire les ficelles… et le fait est que les deux journées d'audience des 9 et 10 juillet se profilaient comme une déconfiture retentissante pour les procureurs américains. Tant mieux pour Assange.
Oui il y a beaucoup de facteurs qui ont concouru -c'est vrai- à ce compromis. N'empêche qu'il arrive à point nommé en plein millieu de cette campagne électorale pleine de rebondissements ! Julian Assange pourra un jour, dès qu'il sera sorti des projecteurs, nous dire ce qu'il sait sur sa libération...Mais le fait est qu'il est désormais avec sa famille est le plus important !
Il faut sans doute remercier la famille Biden dont ce sera le premier acte (et le dernier) de bonté...Il va sans dire que cette comédie de juridiction aux îles Mariannes totalement illégale aux regards des lois internationales n'a fait aucunement illusion. Mais le fait est là, Biden a saisi cette opportunité pour sa campagne, en sachant que Trump, lui aurait choisi l'empoisonnement pour se débarrasser d'Assange et c'est cela qu'il faut retenir , n'en déplaise aux propagandistes de Trump !
Pas si sûr… Je ne pense pas que Biden ait décidé de quelque mesure indulgente que ce soit concernant Assange - il rêvait de le coffrer, le décrivant depuis des lustres comme "un terroriste high tech". Trump en revanche, dans le mois précédant l'investiture de Biden, a déclaré à plusieurs reprises qu'il souhaitait gracier Assange et Snowden - mais on l'a menacé à l'époque d'une procédure d'"impeachment" s'il n'entendait pas raison. Dans un cas comme dans l'autre, de toute façon, c'est plutôt l'"état permanent" qui tire les ficelles… et le fait est que les deux journées d'audience des 9 et 10 juillet se profilaient comme une déconfiture retentissante pour les procureurs américains. Tant mieux pour Assange.
Oui il y a beaucoup de facteurs qui ont concouru -c'est vrai- à ce compromis. N'empêche qu'il arrive à point nommé en plein millieu de cette campagne électorale pleine de rebondissements ! Julian Assange pourra un jour, dès qu'il sera sorti des projecteurs, nous dire ce qu'il sait sur sa libération...Mais le fait est qu'il est désormais avec sa famille est le plus important !